FLASH INFO – Si l’été semble encore lointain, la préfecture de l’Isère n’en rappelle pas moins qu’il est d’ores et déjà temps de se prémunir contre les risques d’incendie de végétation. « L’automne et l’hiver, jusqu’au 15 mars, sont les meilleures périodes pour effectuer les travaux les plus lourds de débroussaillement », indiquent ainsi les services de l’État. Une précaution par ailleurs obligatoire sur 37 communes de l’Isère.
« Débroussailler, c’est réduire la masse de végétaux sur un terrain en créant des discontinuités dans la végétation et ainsi diminuer le risque d’incendie, freiner la propagation du feu et son intensité », décrit la préfecture de l’Isère qui appelle à s’en occuper en ce début d’année. Elle précise en outre qu’un « guide du débroussaillement réglementaire a été réalisé afin de présenter les règles à respecter pour les travaux de débroussaillement et apporter aux usagers les conseils sur les techniques de réalisation ».
Les communes concernées par l’obligation de débroussailler ? Barraux, Bernin, Biviers, Chapareillan, Claix, Corenc, Crolles, Fontaine, Grenoble, La Buissière, La Flachère, La Terrasse, La Tronche, Le Fontanil-Cornillon, Le Gua, Le Touvet, Lumbin, Meylan, Mont-Saint-Martin, Montbonnot-Saint-Martin, Noyarey, Pont-de-Claix, Proveysieux, Quaix-en-Chartreuse, Sassenage, Seyssinet-Pariset, Seyssins, Saint-Egrève, Saint-Ismier, Saint-Martin-le-Vinoux, Saint-Nazaire-les-Eymes, Saint-Paul-de-Varces, Saint-Vincent-de-Mercuze, Varces, Veurey-Voroize, Vif et Voreppe.
Pour chacune de ces communes, l’obligation de débroussailler et le maintien en état de la végétation sont obligatoires pour chaque parcelle et voie incluses dans les espaces boisés, mais aussi pour chaque parcelle et voie situées à moins de 200 mètres d’un espace boisé, notent les services de l’État. Le détail des obligations et des opérations à réaliser en fonction de la caractéristique de la zone à débroussailler est à retrouver sur une page dédiée du site de la préfecture de l’Isère.
Le guide du débroussaillement proposé en ligne par la préfecture (mais aussi disponible en format papier dans les mairies) donne le ton, en s’ouvrant sur une photographie de l’incendie du mont Néron en 2003. Le document ne s’attarde toutefois pas sur des incendies plus récents, comme celui qui a eu lieu près de Voreppe en 2022. Et pour cause : son éditorial est signé de la main du préfet Richard Samuel, en fonction entre 2012 et 2015. De l’eau a depuis, hélas, coulé sur d’autres feux.
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